Bienvenue sur mon blog « Naturellement femme et en santé » que je dédie à la femme de plus de 40 ans cherchant à rester en santé par l’alimentation et des moyens naturels. Je te laisse télécharger mon ebook gratuit >> Perdre du poids après 40 ans : la méthode naturelle pour dire adieu aux régimes et enfin retrouver ta liberté alimentaire
À la ménopause et même déjà à la préménopause (40-45 ans), les fluctuations hormonales chamboulent vraiment notre quotidien. Bouffées de chaleur, fatigue, émotions en dents de scie, prise de poids ou troubles du sommeil s’invitent parfois sans prévenir. Pour y faire face, certaines femmes se tournent souvent vers des solutions naturelles, dont le soja. Riche en phyto-œstrogènes, il est présenté comme une alternative douce aux traitements hormonaux.
Mais est-ce vraiment une bonne idée ? Le lien entre soja et ménopause est-il bénéfique… ou risqué ? Le débat est vif, et les informations contradictoires.
Cet article fait le point complet — et sans tabou — sur le soja et la ménopause.
On te l’a peut-être déjà dit : « le soja, c’est mauvais pour les hormones », ou au contraire, « ça remplace naturellement les œstrogènes, vas-y les yeux fermés ! » Résultat ? Tu ne sais plus qui croire.
Tu veux bien faire pour ton corps, mais tu as peur de mal faire. Et si cette boisson végétale que tu mets dans ton café chaque matin n’était pas si inoffensive ? Et si, au contraire, elle pouvait vraiment t’aider à mieux vivre cette étape charnière ?
Et si ce tofu que tu cuisines avec amour était en fait un danger pour ta thyroïde ou tes seins ? Ou au contraire, un trésor sous-estimé ?
Beaucoup d’entre vous sont perdues. Et à raison : entre les lobbys agroalimentaires, les peurs infondées et les vérités scientifiques mal vulgarisées, il est temps de remettre les pendules à l’heure.
Les phyto-œstrogènes du soja : de quoi s’agit-il ?
Originaire de Chine, consommé depuis des millénaires en Asie, le soja est une légumineuse riche en protéines complètes, en acides gras polyinsaturés (oméga-3), en fibres, en minéraux (fer, calcium, magnésium) et en vitamines du groupe B.
Le soja est naturellement riche en isoflavones, des composés végétaux qui imitent faiblement l’action des œstrogènes dans le corps. Ces phyto-œstrogènes se lient aux récepteurs hormonaux, mais avec une action beaucoup plus douce que les œstrogènes naturels ou synthétiques (environ 1000 fois moins puissants que l’estradiol).
Deux isoflavones majeures du soja sont la génistéine et la daidzéine. Leur structure chimique est proche des œstrogènes humains, ce qui leur permet d’agir dans les périodes de carence hormonale, comme la ménopause et dans les fluctuations inconfortables de la préménopause.
Les symptômes d'un manque d'oestrogènes
Symptômes physiques :
- Bouffées de chaleur
- Sueurs nocturnes
- Prise de poids, surtout au niveau du ventre
- Peau sèche, plus fine
- Cheveux plus cassants, parfois chute de cheveux
- Douleurs articulaires et musculaires
- Fatigue chronique
- Insomnie ou sommeil fragmenté
- Troubles urinaires (envies fréquentes, infections)
- Sécheresse vaginale, douleurs pendant les rapports
Symptômes émotionnels et cognitifs :
- Irritabilité accrue
- Anxiété, souvent diffuse
- Sautes d’humeur
- Tristesse inexpliquée ou tendance dépressive
- Perte de motivation
- Troubles de la concentration (« brouillard mental »)
- Troubles de la mémoire à court terme
Et aussi :
- Baisse de la libido
- Cycles irréguliers, puis absence de règles (ménopause installée)
- Migraines hormonales (chez certaines femmes)
Soja et ménopause : que dit la science ?
De nombreuses études ont été menées sur le soja et la ménopause. Voici ce qu’elles révèlent :
- Une consommation modérée d’isoflavones peux réduire la fréquence et l’intensité des bouffées de chaleur.
- Elle contribuerait à préserver la densité osseuse, ce qui est crucial après 50 ans.
- Les isoflavones peuvent également avoir un effet protecteur sur le système cardiovasculaire, en aidant à réguler le cholestérol.
Mais attention : tous les organismes ne réagissent pas de la même façon. L’efficacité des isoflavones dépend de la capacité du microbiote intestinal à transformer la daidzéine en équol, une molécule encore plus active. Or, cette capacité varie d’une femme à l’autre.
Sous quelles formes consommer le soja ?
Toutes les formes de soja ne se valent pas. En naturopathie, on privilégiera :
- les produits fermentés comme le tempeh, le miso ou le tamari, qui seront mieux assimilés,
- le tofu bio nature (non frit, non pané),
- et les boissons de soja non sucrées.
Il est recommandé d’éviter les isolats de protéines de soja, très présents dans les produits ultra-transformés (barres, steaks végétaux, substituts de viande), car, à l’inverse, ils vont perturber l’équilibre hormonal.
Et les risques ?
Cancer du sein : faut-il s’inquiéter ?
Le soja a longtemps été déconseillé en cas d’antécédents de cancer du sein. Toutefois, plusieurs études récentes tendent à montrer qu’une consommation modérée et régulière de soja naturel n’est pas dangereuse, voire pourrait être protectrice.
Mais chaque situation est unique. Si tu as eu un cancer ou si tu suis un traitement, il est impératif de demander conseil à ton médecin ou thérapeute avant d’introduire le soja dans ton alimentation.
Thyroïde et soja : le vrai du faux
Le soja n’inhibe la fonction thyroïdienne que :
- S’il est consommé en excès,
- Et en cas de carence en iode (très fréquente aujourd’hui).
Conseil : si tu as une hypothyroïdie, évite le soja cru ou en grande quantité. Privilégie la forme fermentée, bien préparée et introduite avec parcimonie.
À éviter absolument :
- L’huile de soja (inflammatoire, déséquilibrée en oméga-6),
- Les protéines de soja texturées,
- Les yaourts ou laits de soja industriels,
- Le soja OGM (souvent ultra-transformé, résidus de pesticides),
Le soja donné aux enfants avant 3 ans (risque d’hyperœstrogénie, allergies, puberté précoce).
Effets secondaires potentiels :
- Risques d’allergie (surtout en cas de soja OGM),
- Troubles digestifs si le soja n’est pas bien préparé (présence d’antinutriments comme les lectines, saponines…),
Risques accrus si exposition massive dès l’enfance.
Plutôt que de diaboliser ou d’encenser, il est temps de replacer le soja dans une approche individualisée et consciente. À la (pré)ménopause, ton corps réclame de la douceur, de l’équilibre, de l’écoute.
Le soja peut être un allié, à condition qu’il soit :
✅ de qualité (bio, non OGM),
✅ consommé en quantité modérée,
✅ intégré dans une alimentation variée et naturelle.
Écoute ton corps. Observe comment tu te sens quand tu en consommes. Prends soin de ton microbiote pour en tirer les bienfaits. Et n’oublie pas : ce qui est bon pour une autre ne l’est pas forcément pour toi.
Le soja et l’environnement : un choix conscient
Le soja est parfois accusé de contribuer à la déforestation, notamment en Amazonie. Ce qu’on sait moins, c’est que 93 % du soja cultivé dans le monde sert à nourrir le bétail, et non les humains.
Le soja que tu consommes en tofu ou en boisson végétale provient, dans la majorité des cas, de filières européennes et biologiques.
En choisissant un soja bio, local et non OGM, tu fais un geste pour ta santé et pour la planète.
Manger du soja peut donc devenir un acte écologique, à condition de savoir d’où il vient.
Tu veux faire le point sur ton alimentation et tes hormones ?
Je t’invite à réserver un bilan nutritionnel gratuit de 30 minutes en visio. On évaluera ensemble si le soja est fait pour toi — ou non — et quelles alternatives naturelles peuvent t’aider à mieux vivre ta (pré)ménopause.
N’hésite pas à laisser un commentaire. J’y répondrai avec beaucoup de plaisir. J’adore papoter avec vous toutes !
32 réflexions sur “Soja et ménopause : ami ou ennemi de ta santé hormonale ?”
Merci pour cet article très intéressant. A 58 ans, je suis en plein dans ta cible 😉 alors, forcément, les conseils que tu donnes ici me seront très utiles.
Merci beaucoup pour ton message qui me fait chaud au cœur ! 🌸
À 58 ans, tu es pile dans cette magnifique période où prendre soin de soi devient une priorité, et une vraie force. 💪✨
Je suis ravie que mes conseils puissent t’accompagner sur ton chemin vers encore plus de vitalité et de sérénité.
N’hésite pas à me dire si certains sujets t’intéresseraient pour aller encore plus loin ! 🌿
Je suis là pour toi. 💛
J aime beaucoup la conclusion de ton article avec le écoute ton corps, observe et prend en soin car on est tous différents!
Merci beaucoup pour ton message si inspirant 💛
C’est exactement ce que je voulais transmettre : chacun(e) a son propre chemin vers l’équilibre. 🌸
Écouter son corps, observer ses réactions sans se juger, c’est un vrai cadeau qu’on peut se faire, surtout dans des périodes de transition comme la ménopause.
Je suis ravie que ce message ait résonné en toi. ✨
Et toi, est-ce que tu as déjà remarqué des aliments qui te font particulièrement du bien ou, au contraire, qui te dérangent ? Je serais heureuse de te lire ! 🌿
Merci pour cet article. En démarrage de périménopause depuis quelques mois, je remets à plat toute mon hygiène de vie. Ton article arrive à point car je consomme beaucoup de lait d’amande (donc de soja). Apparemment, si je comprends bien, ce n’est pas conseillé ?
Merci pour ces apports qui nous permettent d’avancer plus sereinement; Pas facile d’être une femme !
Merci beaucoup pour ton retour si touchant 🙏
Tu fais exactement ce qu’il faut en te posant les bonnes questions dès le début de ta périménopause. Bravo à toi ! 🌸
Concernant ta consommation : si ton lait d’amande contient un peu de soja (ou si tu consommes aussi du lait de soja), l’idéal est de vérifier la qualité (bio, sans OGM, sans additifs).
Mais globalement, pour soutenir ton équilibre hormonal en douceur, je conseille plutôt de privilégier le soja fermenté (comme le tempeh, le miso ou le tamari) plutôt que les boissons végétales à base de soja non fermenté. 🌿
Rappelle-toi : l’objectif n’est pas d’être parfaite, mais d’avancer à ton rythme, avec conscience et bienveillance envers toi-même. 💛
Si tu veux qu’on fasse le point ensemble, n’hésite pas à réserver ton bilan gratuit — je serai ravie de t’accompagner dans cette belle étape de ta vie ! 🌟
Merci pour cet article qui rappelle combien tout dépend de la qualité et du mode de transformation du produit ! La fermentation respecte le vivant, à l’inverse de nombreux procédés industriels…
Merci beaucoup pour ton message 🙏
Tu as totalement raison : la fermentation respecte la nature du vivant et nous offre des aliments bien plus assimilables et bénéfiques pour notre corps. 🌿
On a tendance à l’oublier face à l’industrialisation massive de nos produits alimentaires… C’est vraiment un retour au bon sens que je souhaite remettre en avant !
Est-ce que tu consommes déjà des produits fermentés dans ton quotidien ?
J’adorerais savoir lesquels ! ✨
Merci pour cet article
J’apprécie ta manière d’expliquer sans tomber dans les extrêmes. On entend tellement d’informations contradictoires sur le soja que c’est apaisant d’avoir un vrai éclairage basé à la fois sur la science et sur notre subjectivité.
Je retiens surtout l’importance des formes fermentées.
Merci aussi pour le rappel sur l’impact environnemental du soja — c’est un aspect qu’on oublie trop souvent.
Merci beaucoup pour ton message qui me touche vraiment 🙏
Ta lecture si fine du propos me fait chaud au cœur : oui, la vérité se trouve souvent dans la nuance, et j’essaie justement d’allier la rigueur scientifique à l’écoute du ressenti de chacun.
Tu fais bien de souligner l’importance des formes fermentées : ce sont elles qui transforment un aliment ordinaire en allié précieux pour notre santé 🌿
Et je suis ravie que la dimension environnementale t’ai parlé aussi. On en parle trop peu, alors que nos choix alimentaires ont un vrai pouvoir écologique, jour après jour. 🌍
Merci encore pour ton retour apaisé et éclairé 💛
Je trouve cet article très informatif et bien structuré. Il aborde de manière claire et détaillée les effets du soja sur la santé hormonale pendant la ménopause.
Merci beaucoup pour ton retour 🙏
Je suis heureuse que l’article t’ait paru clair et structuré — c’est un sujet parfois complexe, et j’ai à cœur de le rendre accessible sans le simplifier à l’excès 🌿
Même si l’article s’adresse principalement aux femmes en période de ménopause, les enjeux autour du soja et de l’équilibre hormonal concernent aussi les hommes, notamment sur le plan de la santé cardiovasculaire, de la prévention du cancer de la prostate ou de l’équilibre du microbiote.
Merci encore pour ton intérêt et ta lecture attentive, c’est précieux 💛
Merci beaucoup pour cet article informatif qui démêle le vrai du faux.
Merci pour ces explications claires et enfin compréhensibles.
Qu’en est-il de lait de soja lorsqu’on est intolérant au lait de vache (là aussi, il y a des informations contradictoires ; certains disent que ce sont les mêmes protéines, d’autres non…) ?
Merci beaucoup pour ton message 💛
Je suis ravie que l’article t’ait aidée à y voir plus clair — c’est exactement ce que je souhaite : démêler les idées reçues et apporter des repères concrets 🌿
Ta question est très pertinente ! Non, le lait de soja ne contient pas les mêmes protéines que le lait de vache. Il ne s’agit pas d’une confusion de structure protéique (comme entre lait de vache et lait de chèvre, par exemple), mais parfois le corps peut réagir au lait de soja parce qu’il contient d’autres facteurs allergènes, notamment des protéines de défense que la plante fabrique quand elle est cultivée en conditions industrielles.
Si tu es simplement intolérante au lactose, le soja peut être une alternative… à condition qu’il soit :
✅ bio,
✅ sans additifs,
✅ et idéalement fermenté pour être mieux digéré.
Mais si tu as une vraie hypersensibilité digestive ou un terrain allergique, je te recommande de tester d’autres alternatives végétales plus neutres comme le lait d’amande, de riz ou de coco, voire d’en discuter plus en détail lors d’un bilan personnalisé 🌸
N’hésite pas si tu veux que je t’aide à faire le point plus en profondeur 🙏
Merci pour cet article passionnant.
En effet, le soja est un aliment qui suscite de nombreux débats. Personnellement, j’ai choisi de l’intégrer dans mon alimentation, notamment comme alternative à la viande, bien que je ne sois pas strictement végétarienne. De plus, il est important de souligner que le soja est également cultivé en France, ce qui permet de privilégier des circuits courts et plus respectueux de l’environnement.
Toutefois, il est essentiel de rester prudent dans l’interprétation des études sur ses effets, en particulier pour la population féminine. En Asie, où la consommation de soja est ancestrale, les femmes ont co-évolué avec cet aliment, ce qui pourrait influencer leur tolérance et les effets physiologiques observés. Nos propres populations, qui l’intègrent beaucoup plus récemment dans leur alimentation, pourraient nécessiter plusieurs siècles pour tirer des conclusions réellement adaptées.
Merci beaucoup pour ton commentaire si riche et nuancé 🙏
Tu soulèves un point fondamental : nous n’avons pas le même rapport historique au soja que les populations asiatiques, et notre tolérance peut effectivement être différente. Le lien entre un aliment et un peuple s’inscrit dans le temps long, dans la génétique, la culture, et surtout dans le microbiote !
J’apprécie aussi que tu soulignes l’importance des circuits courts et du soja cultivé en France 🌱 C’est une vraie bonne nouvelle qu’on puisse aujourd’hui se tourner vers des sources locales, bio, et respectueuses de la terre et de notre santé.
Comme toujours, tout est dans la qualité, la forme, et la manière dont on l’intègre à son rythme et selon son terrain.
Merci encore pour cette belle réflexion qui enrichit le débat 🌿
Super intéressant de voir le soja sous cet angle, avec toutes les nuances autour de la ménopause. Ça permet de mieux comprendre les débats autour de cet aliment qu’on croise partout ! Merci pour toutes ces infos claires et bien expliquées.
Merci beaucoup pour ton retour 💛
Je suis ravie que tu aies ressenti toute l’intention de nuance et de clarté que j’ai voulu mettre dans cet article 🌿
Le soja est partout aujourd’hui, mais on oublie souvent qu’il ne se vaut pas toujours… et que notre corps n’y réagit pas toutes pareil — surtout à la ménopause, quand tout change !
Merci d’avoir pris le temps de lire et de partager ton ressenti 🙏
Merci pour ton article très intéressant et riche en conseils ! 🙂 Je vais les appliquer car je suis en périménopause depuis quelques mois. Je consomme du lait de soja 1 à 2 fois par jour et du tofu (en marinade) car je n’aime pas trop nature. Je ne savais pas que les isolats de protéines de soja perturbe l’équilibre hormonal. Merci pour cette précision.
Merci beaucoup pour ton message et ton retour si sincère 🌸
Tu es déjà sur un super chemin en cherchant à adapter ton alimentation dès le début de la périménopause, c’est une période clé pour poser de bonnes bases 🌿
Et bravo d’avoir repéré ce point sur les isolats de protéines ! On les retrouve malheureusement dans beaucoup de produits transformés, même ceux qui semblent « sains » à première vue… L’idée n’est pas de tout changer d’un coup, mais de faire des ajustements en conscience, petit à petit.
Le tofu en marinade est une bonne alternative, surtout s’il est bio et de bonne qualité 😊 Tu pourrais aussi tester le tempeh : il est souvent plus digeste et encore plus intéressant sur le plan nutritionnel.
Si tu veux qu’on fasse le point ensemble, je t’invite avec plaisir à réserver un bilan gratuit — c’est souvent rassurant d’avoir un regard extérieur pour affiner les ajustements 💛
Très intéressante réflexion et merci à ceux qui ont ajouté des données en commentaire qui sont éclairantes aussi.
Merci beaucoup pour ton retour 🙏
Je suis ravie que l’article ait nourri ta réflexion, et encore plus heureuse de voir à quel point les commentaires viennent enrichir le contenu collectivement. C’est exactement ce que je souhaite créer ici : un espace vivant, nuancé et ouvert, où chacun·e peut apprendre, partager, et affiner sa vision. 🌿
Merci à toi d’avoir pris le temps de lire et de souligner cette dynamique si précieuse 💛
Merci pour cet article très intéressant ! 🙏 J’ai beaucoup apprécié la manière nuancée dont tu abordes le soja et ses effets sur la santé hormonale. C’est rassurant d’avoir des repères clairs pour mieux comprendre ce qui est bon pour notre corps, surtout dans une période aussi sensible que la ménopause. Merci pour ce travail d’information si précieux
Merci beaucoup pour ton retour si encourageant 💛
C’est exactement ce que j’ai voulu offrir à travers cet article : des repères clairs, sans dogme, mais avec justesse, pour que chacune puisse avancer avec plus de confiance dans son corps.
La ménopause est une période de transformation profonde… mais elle peut aussi devenir un vrai levier de renouveau, quand on a les bonnes clés. 🌿
Je suis ravie que l’article t’ait apporté des éclairages utiles ✨
Et si un sujet t’interpelle plus particulièrement pour un prochain article, je serais heureuse de t’écouter !
Merci Véronique pour cet article clair, équilibré… et tellement précieux pour toutes les femmes.
Tu abordes la question du soja et de la ménopause avec beaucoup de nuance, sans tomber dans les idées toutes faites qu’on entend trop souvent. J’ai particulièrement apprécié ta capacité à rendre ce sujet accessible sans simplifier à l’excès, tout en respectant la complexité de notre santé hormonale.
Même à 55 ans, et en ayant déjà exploré pas mal d’informations sur ce thème, ton article m’a apporté de nouveaux éclairages — et surtout, l’envie de continuer à faire des choix alimentaires conscients et adaptés à mon propre rythme.
Merci pour cette belle contribution à une approche plus sereine et éclairée de la ménopause
Merci infiniment pour ton message, il me touche profondément 💛
C’est exactement ce que je souhaite transmettre à travers ce blog : une vision nuancée, accessible et respectueuse de la complexité du corps féminin, surtout à cette étape si sensible qu’est la ménopause.
Savoir que, même à 55 ans, avec ton propre parcours, tu y as trouvé de nouveaux éclairages, c’est pour moi le plus beau des encouragements 🌿
Chaque femme mérite de pouvoir avancer à son rythme, avec des choix éclairés et en lien avec son corps.
Merci pour ta belle énergie… et n’hésite pas à revenir me dire où tu en es dans tes explorations. ✨
Je suis là pour ça 🌸
Merci pour ton article qui fait bien le tour du sujet avec efficacité. J’ai apprécié que tu abordes la partie environnementale en plus de la partie santé.
Merci beaucoup pour ton retour 🙏
Je suis ravie que tu aies remarqué l’aspect environnemental 🌍
Pour moi, la santé du corps et celle de la planète sont profondément liées — on ne peut plus les dissocier aujourd’hui.
Choisir un soja bio, local, non OGM, c’est à la fois prendre soin de soi et poser un acte concret pour l’environnement. Et ça, c’est tellement puissant 🌿
Merci d’avoir pris le temps de le souligner 💛
Tu fais aussi partie de celles qui font bouger les choses, à leur échelle.
J’aime ton article, car il est facile à lire et bien nuancé ! Je me suis beaucoup intéressée à ce sujet, qui est loin d’être simple. En lisant les études scientifiques, on peut facilement s’y perdre : les auteurs donnent rarement suffisamment de détails sur la provenance du soya, la manière dont le produit a été préparé, ou encore la biologie des personnes qui en ont consommé.
J’ai lu quelques études qui soulignent une différence marquée dans les effets de la consommation de soya entre les femmes post-ménopausées et celles en âge de procréer. Le taux d’œstrogènes sanguins influence grandement les effets ressentis.
Mais selon moi, le plus important reste la présence de xénoestrogènes dans les produits à base de soya, notamment en Amérique. Les herbicides et pesticides ont un impact hormonal bien plus important que n’importe quel type d’isoflavones.
Merci infiniment pour ton retour si éclairé ✨
Tu mets en lumière des points essentiels — et trop souvent passés sous silence dans les publications scientifiques.
👉 La qualité du soja (provenance, préparation, transformation) change radicalement la donne.
Et oui, l’impact dépend aussi du terrain hormonal : ce qui agit comme un soutien doux à la ménopause peut être perçu tout autrement chez une femme jeune, avec un taux d’œstrogènes naturellement élevé.
Je suis aussi entièrement d’accord avec toi sur la question des xénoestrogènes : ce sont eux les véritables perturbateurs endocriniens silencieux. Le soja naturel, bien choisi, bien préparé, ne joue pas du tout dans la même cour que les résidus d’herbicides… 😔
Merci pour ce commentaire qui enrichit le débat avec intelligence 🙏
L’idée de bénéficier de l’apport en génistéine et en daidzéine en mangeant du soja au moment de la ménopause est assez géniale, à condition que cet apport puisse effectivement avoir un effet.
Merci pour ce partage d’information.
Merci pour ton commentaire si pertinent ✨
Tu as totalement raison : l’idée est brillante en soi, mais l’efficacité dépend de plusieurs facteurs… et notamment de notre capacité à bien transformer ces isoflavones (merci le microbiote ! 😉).
C’est là que l’alimentation personnalisée prend tout son sens : même un aliment aussi riche que le soja n’aura pas le même impact chez chacune.
D’où l’importance d’observer son corps et d’y aller avec conscience 🌿
Belle journée à toi